La cascade dans les Gorges de la Chiffa Grand-père et son ami touareg
Grand-Père Boudjemâa reçoit un ami touareg qui vient le visiter en Kabylie. Nous sommes en 1932. Il lui fait voir les montagnes et passe avec lui dans les Gorges de la Chiffa. Sur la route qui monte, au-dessus de Blida, dans les montagnes de l’Atlas. Des singes s’approchent des voitures qui s’arrêtent, en quête d’un morceau de pain. Ils sont aussi prompts à voler tout ce qui tombe sous leur main. Et même vous pincer ou vous mordre !
Boudjemâa montre une magnifique cascade qui fait une chute impressionnante dans ces gorges étroites. Nous sommes au printemps, l’air est vif. L’ami de Boudjemâa est très impressionné par la cascade. Au bout d’un moment, l’homme du désert dit à Grand-Père : « Merci pour ce magnifique spectacle, j’ai bien vu. Maintenant, tu peux faire arrêter l’eau de couler ! »
Articles similaires
Mon père et la source. Kabylie, été 1953.
11 mars 2017
Le petit seigneur terrien monnaye l’impunité de son fils
7 octobre 2016
Les bailleurs et le développement à l’envers
20 décembre 2019