Blessures des murs – Quand on a enterré les morts, soigné les blessés, l’oubli salvateur s’installe dans les cœurs. Mais les murs se souviennent des folies meurtrières des hommes. Ici et là, ils témoignent…

Paris garde les traces de la Libération en 1945. On a effacé les blessures antérieures. Sauf la trace d’un bombardement de la 1° Guerre Mondiale. Marseille aussi. La « Bonne Mère » a gardé les traces des combats pour la Libération de la ville. Barcelone, c’est la Guerre Civile en plein cœur du quartier gothique. Rouen pendant les très lourds bombardements américains sur les positions allemandes en 1944. Et Soissons, ville sur le front de guerre pendant la 1° Guerre Mondiale. Ville meurtrie. La carcasse de cathédrale témoigne de la violence des bombardements. Les églises ne sont vraiment pas été épargnées ! L’attentat du Bataclan en 2015 a laissé des traces qui témoignent de l’horreur.

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