Le miroir brisé de la Bonne gouvernance : Quelles conséquences pour l’aide au développement ? »

Jacques OULD AOUDIA et Nicolas MEISEL (2009)

 

La période actuelle voit la fin de l’hégémonie de l’Occident sur le reste du monde. C’est une période porteuse d’une refonte complète des relations entre Nord et Sud de la planète.

 

L’assurance des prescriptions des pays riches en matière de développement est ébranlée. Leurs analyses ne rendent compte ni des mouvements qui créent, sous nos yeux, de puissants acteurs nouveaux. Ni du maintien dans la pauvreté de la plupart des pays du Sud. Libéralisation, ‘bonne gouvernance’ et démocratie, qui caractérisent les institutions des pays développés, restent les axes centraux des politiques d’aide projetées sur les pays en développement.

 Voir ==> « La Bonne Gouvernance est elle une bonne stratégie de développement? »

 A partir d’une analyse des processus de transition institutionnelle et des outils de l’économie politique, on peut montrer cependant que les processus de développement relèvent de mécanismes endogènes aux sociétés. Car ils s’inscrivent avant tout dans des registres politiques et touchent leurs ressorts profonds. Tout particulièrement les réformes de la gouvernance. Cela n’exclut pas des emprunts à l’extérieur. Mais quand ils sont opérés par les sociétés elles-mêmes. Au total, ces réflexions questionnent les fondements de l’aide elle-même.

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Voir l’article complet  ==> ICI 

Sur la « bonne gouvernance »,  voir ==> ICI

 

 

 


© 2023 Jacques Ould Aoudia | Tous droits réservés

Conception | Réalisation : In blossom

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